Résumé historique[1]
- Papus meurt le 25 octobre 1916, laissant Charles Detré, dit Téder, devenir le Grand Maître de l’Ordre jusqu’en 1918 où il meurt à son tour. La succession ne se fera pas aussi simplement, car bien que Bricaud revendique être le successeur, Victor Blanchard le conteste en raison de la tendance de Bricaud à réserver le Martinisme uniquement à des francs-maçons masculins. Blanchard fonda en 1920 l’Ordre Martiniste et Synarchique (OMS). De même, Chaboseau, pourtant un fondateur de l’Ordre avec Papus, fonda en 1931, avec d’anciens membres, l’Ordre Martiniste Traditionnel (OMT) et en devint le premier Grand Maître. Il laissera sa place à Victor-Émile Michelet l’année suivante.
- En 1934, Bricaud meurt et est succédé par Constant Chevillon. Celui-ci mourra en 1944 pour être remplacé par Charles-Henri Dupont.
- En 1937, suite à la mort de Michelet, Chaboseau se retrouve de nouveau à la tête de l’Ordre Martiniste Traditionnel. Il délivrera l’année suivante (1939) une charte à Ralph M. Lewis, lié à l’AMORC pour établir le Martinisme Traditionnel aux États-Unis, celui-ci resta actif durant toute la guerre.
- Après la guerre, Chaboseau et Lagrèze réorganisèrent en France l’Ordre Martiniste Traditionnel, dont le fils de Chaboseau, Jean Chaboseau, en devint le Grand Maître en 1946. Cependant, sa filiation est controversée et l’Ordre devient plus ou moins actif jusqu’en 1952 où Robert Ambelain transmet, lui qui a une filiation approuvée, l’initiation à Philippe Encausse (fils de Papus) et à plusieurs membres qui formeront le nouveau Suprême Conseil de l’Ordre Martiniste.
- Le 26 octobre 1958, plusieurs Ordres, dont l’Ordre présidé par Philippe Encausse ; l’Ordre présidé par Dupont et l’Ordre présidé par Ambelain, signèrent la constitution de l’Union des Ordres Martinistes et devinrent un seul Ordre réunissant les trois autres.
- En 1959, Lewis de l’OMT demande à Raymond Bernard (grand maître de l’AMORC pour les pays de langue française) de devenir Grand Maître pour les pays francophones.
- En 1968, Ambelain qui se réclamant d’une seconde filiation russe fonde l’Ordre Martiniste Initiatique (OMI) où il incorpore une partie de la tradition Élus-Cohens. De même, en 1974, l’Ordre Martiniste pour les Pays-Bas (OMPB) devient indépendant et deviendra un ordre international sous le nom de : Ordre Martiniste des Pays-Bas, sous la direction de Warnon.
- Jusqu’à nos jours, en considérant les branches majeures, l’Ordre Martiniste Traditionnel de langue française changea deux autres fois de Grand Maître, soit en 1977 avec Christian Bernard et Serge Toussaint à partir de 1993. L’Ordre Martiniste est maintenant dirigé par Émilio Lorenzo depuis 1979, il succéda à Philippe Encausse qui mourut en 1984. Warnon (fils) succéda à son père en 2011 dans l’Ordre Martiniste des Pays-Bas, Lalonde est responsable du Québec pour l’Ordre Martiniste et Synarchique et finalement Gaillard suivi de Castelli en 2008 dirige l’Ordre Martiniste Initiatique.
Quelqu’en soit la branche, le symbole du Martinisme est le Pantacle. Voici différents Pantacles utilisés :
Symboles martinistes
De même, voici un tableau récapitulatif des filiations et Ordres Martinistes les plus importants.
Filiations et Ordres Martinistes
Les différentes filiations
Ordre Martiniste Traditionel
Complément historique
Le Martinisme Traditionnel est étroitement lié au Rosicrucianisme. Harvey Spencer Lewis fonda l’AMORC en 1919 et reçu peu de temps après, de Victor Blanchard, le commandement de l’Ordre aux États-Unis. En 1937, les pleins pouvoirs lui furent donnés et en 1939, son fils, Ralph M. Lewis reçu les Chartes officielles pour poursuivre son travail. Le développement de l’OMT se fut donc aux États-Unis et parrainés par l’AMORC. Le Martinisme Traditionnel se développa en France qu’à partir des années 60. Il est aujourd’hui un des mouvements les plus importants du Martinisme.
Bien que Christian Bernard en est le Grand Maître mondial depuis 1990, nous avons ajouté à notre tableau Serge Toussaint, qui est le Grand Maître pour la juridiction francophone. Celle-ci comporte plusieurs milliers de membres[2].
Fonctionnement et particularités
L’Ordre Martiniste Traditionnel considère l’enseignement Martiniste comme l’enseignement des grands thèmes de l’ésotérisme judéo-chrétien[3]. Parmi ces thèmes, il invoque entre autres: L’Adam Kadmon; La chute de l’Homme; Les origines de la Création; Les arcanes de la Kabbale; L’Ancien et le Nouveau Testament; Les Évangiles apocryphes; Le Livre de la Nature; La mission du Christ; Le monde invisible; la prière et plusieurs autres.
Ces sujets peuvent être étudiés soit en tant que membre d’une Heptade ou soit en tant que membre de l’Oratoire. La différence entre ces deux voies est que le membre d’une Heptade consiste à se rendre dans un endroit prédéterminé, sous la conduite d’un « Collège d’Officiers dûment mandatés, dans un cadre rituel, et en présence d’autres Martinistes. »[4] Chacun des trois degrés initiatiques prend 2 ans d’études, sous la forme orale, avant de pouvoir avoir accès à un cercle de Philosophes Inconnus. Le membre doit aussi être dans l’AMORC. Quant à lui, le membre de l’Oratoire reçoit simplement la documentation écrite par la poste, et ne doit pas nécessairement être membre de l’AMORC.
À la différence d’autres Ordres, le Martinisme Traditionnel affirme n’employer ni théurgie ni magie[5], mais étudier l’histoire de l’Homme (avec une vision Martinésiste) afin d’être des Hommes de Désir, de « vouloir reconstruire son Temple intérieur et réintégrer sa divine condition ».[6]
Nous retrouverons aussi, comme mentionnés dans l’ésotérisme occidental, les notions de : Livre de la Nature et Livre de l’Homme. Des enseignements qui s’acquièrent par l’introspection et non pas par la quantité de livres étudiés. C’est la transformation intérieure, acquise par les différentes étapes d’évolution selon Saint-Martin, qui est recherchée.
Ordre Martiniste et Synarchique (et Opératif)
Complément historique
Victor Blanchard, revendiquant la succession de Papus, fonde en 1920 l’Ordre Martiniste et Synarchique. Le terme Synarchique semble avoir été ajouté en référence à Saint-Yves d’Alveydre qui fut le maître intellectuel de Papus. Pour officialiser sa filiation, lors de la première rencontre, il fit la lecture des chartes délivrées par Papus et Téder à lui-même. Cet Ordre utilise aussi les rituels agréés par Papus en 1913. L’Ordre reste relativement mineur jusqu’en 1934 lorsqu’il représenta le Martinisme à la Fédération Universelle des Ordres et des Sociétés Initiatiques (FUDOSI).
Puisque chaque groupe de cet Ordre est autonome, nous nous permettons de poursuivre cette description pour le Canada et le Québec. En fait, en 1967, il semble que le groupe établi à Toronto éprouva des difficultés avec la grande Loge Britannique auquel elle était affiliée. C’est pour cette raison qu’en 1968, un groupe indépendant et souverain se forma pour gouverner les activités au Canada. Par la suite, l’Ordre installa une section provinciale à Montréal dont la direction passera par Marcel Lafrenière[7]. Aujourd’hui, le Grand Maître à Montréal est Pierre Lalonde.
En 1984, à Montréal, Michel Brassard et d’autres membres de l’OMS fondent l’Ordre Martiniste Opératif. Cet Ordre, vu de ses membres comme une continuité plus avancée de l’Ordre Martiniste et Synarchique, présente 3 voies spécifiques de cheminement soient : une voie alchimique, une voie de guérison et une voie théurgique avec des rituels adaptés.
Fonctionnement et particularités
La tête de l’Ordre est Synarchique, c’est-à-dire qu’un triangle (le Triangle Supérieur) de trois Maîtres en forme la direction. Il s’agit d’un Ordre initiatique mixte, dont une particularité est que l’appellation de S*I* ne correspond pas à l’initiation du troisième degré, mais en son point culminant. Le S*I* est donc celui qui a étudié la trentaine de thèmes (les conventicules) de chaque degré ; conventicules associés à l’ésotérisme judéo-chrétien. À la fin de chaque degré il y a un test, si celui-ci est accepté par le groupe, l’initiation du candidat se fait à la rencontre suivante.
Les Élus-Cohens n’étant pas présents au Québec, l’Ordre Martiniste Opératif (OMO) vise, de son côté, à plaire à ceux qui veulent faire des opérations. Il a repris les conventicules de l’OMS avec quelques modifications rituelles, mais leur particularité est qu’une fois le membre devenu S*I*, trois branches opératives s’offrent au membre :
- 1- Une branche vers les Élus-Cohen
- 2- Une branche alchimique
- 3- Une branche de guérisons rituelles (directement auprès de gens)
Ordre Martiniste (Philippe Encausse)
Complément historique
Robert Ambelain, Grand Maître de l’Ordre des Élus-Cohens depuis la mort de Georges Lagrèze, convainc Philippe Encausse, fils de Papus, de relancer le Martinisme. En 1952 Encausse devint le Grand Maître de l’Ordre Martiniste. Les années qui suivirent furent difficiles pour la lignée de Bricaud-Chevillon-Dupont, qui décida de s’allier à l’union des Ordres Martinistes comprenant les lignées de Encausse, Dupont et Ambelain. En 1960, Philippe Encausse en devint le seul Grand-Maître.
Fonctionnement et particularités
Un traité particulier nous semble important de mentionner ici. Papus avait signé en 1911 un traité faisant de l’Église gnostique l’Église officielle du Martinisme. Ce traité fut précisé et reconfirmé en 1968 entre Philippe Encausse et T. André le Patriarche de l’Église gnostique apostolique. Cet Ordre mixte étudie le symbolisme et la philosophie ésotérique de tradition chrétienne tout en pratiquant ses rituels.
Ordre Martiniste Initiatique
Complément historique
L’Ordre Martiniste Initiatique fut fondé en 1968 par Robert Ambelain. Il envoya à ce moment un communiqué aux autres Ordres Martinistes stipulant qu’il avait trouvé la filiation initiatique réelle de Saint-Martin et qu’il considérait toutes les autres filiations comme non valides. Cette filiation passerait par le Régime Rectifié fondé par Saint-Martin et développé en Russie par le prince Galitzine. À notre connaissance, il n’y a pas de preuve, autre que les dires de Ambelain, pour prouver cette filiation. Cependant, il prétend qu’une autre source de cette filiation est aussi plus vérifiable. Cette fois-ci, ce serait Frédéric Tieman Von Beren, connaissance très près du Prince Galitzine, initié par Jean-Frédéric Kuhn, un disciple direct de Pasqually qui l’aurait initié[8].
Nous savons avec certitude que le Martinisme était bel et bien actif en Russie. « Le nombre des Martinistes de Novikov[9], [était] évalué par le Frère Tieman à près de 3000 en 1786 »[10]. Au début des années 1900, il existait au moins trois centres majeurs de Martinisme en Russie : à Moscou avec à sa tête Pierre Kasnatcheev ; à Saint-Petersbourg avec Von Mebès ; et à Kiev avec Serge Marcotoune. La filiation complète dont Ambelain prétend être initié proviendrait de Terrapiano, successeur de Marcotoune, qui aurait initié Bogé de lagrèze et Savoir, qui eux réinitièrent Ambelain avec la filiation Russe.
Fonctionnement et particularités
Il y a deux niveaux de structure à l’organisation, dont le Martinisme correspond au premier temple. Pour entrer dans ce premier temple, il faut au préalable être Maître-Maçon. Une fois de plus, le Martinisme est abordé comme la suite des degrés maçonniques. Ce premier temple consiste en les degrés habituels du Martinisme, soit : Associé, Initié, Supérieur Inconnu (ou Serviteur Inconnu) et Initiateur. Le second temple est un Ordre intérieur (non spécifiquement Martiniste), dont il faut être S*I* pour y entrer. Celui-ci se divise en trois voies : théurgique, chevaleresque et sacerdotale, menant à l’Ordre des Élus-Choens, l’Église gnostique ésotérique et le Grand Prieuré Martiniste. L’accomplissement de ces voies menant à leurs tours à un troisième niveau nommé : l’Ordre Hermétique[11].
Les articles de la Déclaration des principes, trouvés dans les Statuts et règlements généraux de l’Ordre sont très clairs, l’orientation de l’Ordre est celle qui suit la philosophie de Pasqually, Saint-Martin et Willermoz. Tous les moyens d’investigations ésotériques sont acceptés, provenant autant de l’Orient que de l’Occident, sans toutefois en imposer une dogmatique[12]. L’article 7 nous informe sur les conditions nécessaires des membres. Ces conditions sont en lien avec la tolérance religieuse et politique ainsi qu’à l’obligation de considérer tous les humains comme égaux. Cependant, en aucun cas, les questions politiques ne devront être discutées pendant les travaux. De même, l’Ordre décrit une de ses directions principales par l’article 38 qui dit que : « Le postulant doit croire en l’existence d’un Principe Supérieur à l’œuvre dans l’Univers et gouvernant l’évolution de celui-ci. »[13]
Ordre Martiniste des Pays-Bas
Complément historique
Dans les archives Martinistes des Pays-Bas, nous pouvons trouver une lettre, écrite le 18 août 1968, et démontrant les premiers pas vers l’établissement du Martinisme dans ce pays. Cette lettre, écrite par Philippe Encausse S*G*M* stipule : « La proposition de notre F* Warnon est fort intéressante et il a, bien sûr, carte blanche. […] Ses efforts seront épaulés au maximum par l’O*M* »[14]. Une seconde lettre, entre Encausse et Warnon, daté du 26 septembre 1968, vient officialiser l’entente et le début de l’implantation de l’Ordre aux Pays-Bas. Cette lettre affirme : « Je suis heureux de te confirmer officiellement ta désignation de Délégué officiel de notre Ordre Vénéré pour l’organisation de notre mouvement aux PAYS-BAS. »[15] L’année suivante, soit le 15 avril 1969, toujours avec l’accord de l’Ordre Martiniste français, Warnon qui était à ce moment membre du Suprême Conseil devient Souverain Délégué National pour les Pays-Bas[16] et le premier groupe aux Pays-Bas, nommé Jacob Boehme, No 65, Collège d’Amsterdam, vit le jour le 9 novembre 1970.
Dès le début des loges aux Pays-Bas, Encausse s’aperçut que les membres plutôt protestants, Vieux-Catholiques ou Catholiques Libéraux s’opposaient en général à l’accord de l’Ordre avec l’Église Gnostique Apostolique, alors il proposa par deux fois la fondation d’un Ordre Martiniste des Pays-Bas indépendant et libre de leurs traditions religieuses[17]. La décision d’accepter l’indépendance fut prise le 12 septembre 1975, une lettre d’archive écrite par Warnon stipule :
«En vertu des pouvoirs qui m’ont été régulièrement conférés par le Suprême Conseil de l’Ordre Martiniste de Paris, en date du 15 avril 1969. Je déclare ce qui suit :
1./ mettre librement et volontairement fin à mon mandat de Souverain-Délégué-National du Suprême conseil de l’Ordre Martiniste de Paris
2./ transmettre régulièrement tous mes droits et pouvoirs au Suprême Conseil de l’Ordre Martiniste Néérlandais, organisation autonome et souveraine du Martinisme aux Pays-Bas»[18].
Warnon fut élu à ce moment le S*G*M* de ce nouvel Ordre avec l’accord du Suprême Conseil de Paris et du nouveau Suprême Conseil de l’Ordre Martiniste des Pays-Bas. Warnon, parlant plusieurs langues, eut tôt fait d’avoir des contacts avec des courants Martinistes d’Europe centrale et du Nord. Il s’adjoint de cette façon à trois autres filiations sans interruption.
Ainsi l’Ordre prétend détenir une filiation d’abord de « Augustin Chaboseau, par Émile Dantine, Émile Ehlers et Gustave-Lambert Brahy pour ses degrés inférieurs (jusqu’au quatrième), ensuite d’une filiation Russe se rattachant au Prince Kourakine qui fut en contact direct avec Saint-Martin, la filiation des Princes de Hesse et de la maison des Princes Rakoczy, par le général polonais Michad Tokarevsky, […], et enfin d’une filiation allemande, par le Dr. Franz Hartmann, remontant, par le Professeur Molitor, à Franz Von Ba[a]der, un disciple direct de Martinez de Pasqually.»[19] Aujourd’hui, l’Ordre Martiniste des Pays-Bas est un Ordre international sur plusieurs continents et opérant en différentes langues.
Fonctionnement et particularités
L’Ordre Martiniste des Pays-Bas trouve sa particularité principale dans le fait de la pleine liberté religieuse, sans présenter aucune doctrine ecclésiastique. Ses enseignements sont, au sens large : théosophiques, de tous les théosophes et de toutes les traditions. Ainsi, selon l’article 4 des statuts et règlements : « Greffé sur cette souche théosophique, l’Ordre Martiniste doit admettre tous les moyens d’investigation dans la recherche de la vérité, depuis les plus académiques et scientifiques, jusqu’aux plus métaphysiques, mystiques, et ésotériques »[20] sans imposer de doctrine. Cependant, fidèle allié de l’ésotérisme occidental, « l’Ordre se déclare sous la protection et la direction du Christ, son Hiérophante et son Maître. »[21] L’Ordre laisse une grande autonomie d’action à chacun de ses groupes et à leurs directions ésotériques et occultes.
Pour plus d’informations, nous vous suggérons de lire la Déclaration des Principes.
Références
[1] À partir de : S. CAILLET. Ordre martiniste, https://www.instituteleazar.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=27&Itemid=74.[2] Ordre martiniste traditionnel, https://www.martiniste.org/histoire/hist_epoque_moderne_04.html.
[3] Actualité de l’histoire, Le martinisme dévoilé, No HS 37, janvier-février 2010 p.3 de 52.
[4] Ordre martiniste traditionnel, https://www.martiniste.org/ordre/or_devenir_membre_01.html.
[5] Actualité de l’histoire, op. cit., p. 34 de 52.
[6] Ordre martiniste traditionnel, https://www.martiniste.org.
[7] B. BAUDOUIN. Petite histoire de la franc-maçonnerie au Québec, Canada, Éditions Louise Courteau, 2009, p. 113-114.
[8] L’ordre martiniste initiatique et le martinisme : histoire et filiation, document interne, p. 13 de 37.
[9] Grand Maître Rose-Croix de Russie.
[10] L’ordre martiniste initiatique et le martinisme : histoire et filiation,op. cit., p. 9.
[11] Ibid., p.23.
[12] Ordre martiniste initiatique : Statuts et règlements généraux, document interne, p. 2 de 20.
[13] Ibid., p. 7.
[14] Ordre martiniste des Pays-Bas, Première lettre d’archive signé d’Encausse.
[15] Ordre martiniste des Pays-Bas, Deuxième lettre d’archive signé d’Encausse.
[16] Ordre martiniste des Pays-Bas, Troisième lettre d’archive signé d’Encausse.
[17] Ordre martiniste des Pays-Bas, https://kingsgarden.org/french/organisations.f/om.f/OM.html.
[18] Ordre martiniste des Pays-Bas, Cinquième lettre d’archive signé de Warnon.
[19] Ordre martiniste des Pays-Bas. op. cit.
[20] Déclaration de principe, https://kingsgarden.org/french/organisations.f/om.f/OM.html.
[21] Ibid., Article 106.